L’ancien PDG de Twitter, Agrawal, et d’autres dirigeants poursuivent l’entreprise pour des frais juridiques impayés

D’anciens employés de Twitter, dont l’ancien PDG Parag Agrawal, l’ancien directeur juridique Vijaya Gadde et l’ancien directeur financier Ned Segal, ont poursuivi le réseau social pour de prétendus remboursements légaux impayés.

Le procès, déposé devant le Delaware Chancery Court, alléguait que Twitter devait payer plus d’un million de dollars aux anciens dirigeants pour les frais juridiques qu’ils avaient engagés dans l’entreprise pour répondre aux demandes du ministère de la Justice et de la Securities and Exchange Commission.

“Cette action vise une décision accélérée obligeant le défendeur à se conformer à ses obligations d’avancer les frais et dépenses juridiques liés aux litiges et enquêtes en cours”, indique le procès.

Le document énumère un certain nombre de batailles juridiques et d’enquêtes gouvernementales dans lesquelles ces dirigeants ont été impliqués au fil des ans en tant qu’accusés. Les plaignants ont écrit plusieurs fois à Twitter pour demander le remboursement, mais ils ont juste reçu des accusés de réception en réponse, ajoute le document.

Le dossier indique que Twitter “a violé les accords [with employees] et a contrevenu aux règlements » en ne payant pas les anciens employés.

Après qu’Elon Musk a repris Twitter en octobre dernier, il a immédiatement renvoyé Agrawal, Gadde et Segal. À cette époque, Bloomberg a rapporté que ces dirigeants avaient un package de sortie de plus de 100 millions de dollars.

Twitter a fait l’objet de multiples poursuites après que Musk en soit devenu le propriétaire. Il s’agit notamment des cas d’anciens employés et sous-traitants alléguant que l’entreprise les a licenciés sans préavis suffisant et de plusieurs fournisseurs accusant l’entreprise de ne pas payer les factures à temps.

La société de médias sociaux est également impliquée dans une bataille juridique en Allemagne, où les autorités cherchent à infliger une amende à Twitter pour ne pas avoir supprimé les discours de haine. En vertu de la loi nationale sur l’application des réseaux (alias NetzDG), les entreprises pourraient être condamnées à une amende pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros pour violation des règles.

Outre Gadde, Twitter a perdu quelques têtes juridiques au cours des derniers mois, dont James Baker en décembre et Christian Dowell plus tôt ce mois-ci.

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D’anciens employés de Twitter, dont l’ancien PDG Parag Agrawal, l’ancien directeur juridique Vijaya Gadde et l’ancien directeur financier Ned Segal, ont poursuivi le réseau social pour de prétendus remboursements légaux impayés.

Le procès, déposé devant le Delaware Chancery Court, alléguait que Twitter devait payer plus d’un million de dollars aux anciens dirigeants pour les frais juridiques qu’ils avaient engagés dans l’entreprise pour répondre aux demandes du ministère de la Justice et de la Securities and Exchange Commission.

“Cette action vise une décision accélérée obligeant le défendeur à se conformer à ses obligations d’avancer les frais et dépenses juridiques liés aux litiges et enquêtes en cours”, indique le procès.

Le document énumère un certain nombre de batailles juridiques et d’enquêtes gouvernementales dans lesquelles ces dirigeants ont été impliqués au fil des ans en tant qu’accusés. Les plaignants ont écrit plusieurs fois à Twitter pour demander le remboursement, mais ils ont juste reçu des accusés de réception en réponse, ajoute le document.

Le dossier indique que Twitter “a violé les accords [with employees] et a contrevenu aux règlements » en ne payant pas les anciens employés.

Après qu’Elon Musk a repris Twitter en octobre dernier, il a immédiatement renvoyé Agrawal, Gadde et Segal. À cette époque, Bloomberg a rapporté que ces dirigeants avaient un package de sortie de plus de 100 millions de dollars.

Twitter a fait l’objet de multiples poursuites après que Musk en soit devenu le propriétaire. Il s’agit notamment des cas d’anciens employés et sous-traitants alléguant que l’entreprise les a licenciés sans préavis suffisant et de plusieurs fournisseurs accusant l’entreprise de ne pas payer les factures à temps.

La société de médias sociaux est également impliquée dans une bataille juridique en Allemagne, où les autorités cherchent à infliger une amende à Twitter pour ne pas avoir supprimé les discours de haine. En vertu de la loi nationale sur l’application des réseaux (alias NetzDG), les entreprises pourraient être condamnées à une amende pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros pour violation des règles.

Outre Gadde, Twitter a perdu quelques têtes juridiques au cours des derniers mois, dont James Baker en décembre et Christian Dowell plus tôt ce mois-ci.

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