D’anciens dirigeants de Twitter témoignent devant le House Oversight Committee

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Trois anciens dirigeants de Twitter doivent témoigner devant le comité de surveillance de la Chambre mercredi à partir de 10 h HE.

L’audience, intitulée “Protéger le discours de l’ingérence du gouvernement et des préjugés des médias sociaux, partie 1 : le rôle de Twitter dans la suppression de l’histoire de l’ordinateur portable Biden”, est une première démonstration de la façon dont les républicains nouvellement habilités à la Chambre exerceront leur influence sur les questions technologiques. De nombreux républicains se plaignent depuis longtemps de ce qu’ils considèrent comme un parti pris envers les conservateurs dans les politiques de modération du contenu des plateformes en ligne, ce que les entreprises technologiques ont toujours nié.

Pourtant, le nouveau propriétaire de Twitter, Elon Musk, qui s’est affronté avec les anciens dirigeants témoignant, a promis de rétablir la liberté d’expression sur la plateforme. Même ainsi, certaines de ses actions, comme la suspension des comptes de certains journalistes et un profil traquant son jet, ont montré que Musk avait aussi des lignes dans le sable sur la liberté d’expression.

L’audience de mercredi comprend l’ancien directeur juridique de Twitter, Vijaya Gadde, l’ancien avocat général adjoint James Baker, l’ancien responsable de la politique de Twitter, Annika Collier Navaroli, et l’ancien responsable mondial de la confiance et de la sécurité, Yoel Roth.

L’histoire à laquelle le titre de l’audience fait référence est un article du New York Post de 2020 qui prétendait trouver un e-mail « irréfutable » lié au président Joe Biden et à son fils Hunter. L’article a été publié peu de temps avant l’élection de Biden à la magistrature suprême en 2020, ce qui a encore attisé les tensions lorsque Twitter et Facebook ont ​​décidé de limiter la diffusion de l’article. Twitter a pris la mesure extrême de bloquer les liens vers l’histoire, citant sa politique sur les matériaux piratés. Le PDG de Twitter à l’époque a déclaré que l’approche de l’entreprise était erronée et a changé la politique, mais la confiance de nombreux législateurs était déjà brisée.

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